Dans un sommeil que charmait ton image
Je rêvais le bonheur, ardent mirage!
Tes yeux étaient plus doux, ta voix pure et sonore,
Tu rayonnais comme un ciel, éclairé par l'aurore
Tu m'appelais et je quittais la terre
Pour m'enfuir avec toi, vers la lumière
Les cieux pour nous, entr'ouvraient les nues,
splendeurs inconnues, lueurs divines entrevues.
Hélas! Hélas, triste réveil des songes,
Je t'appelle, ô nuit! Rends-moi tes mensonges
Reviens, reviens radieuse.
Reviens, ô nuit, mystérieuse!
-Fauré.
quinta-feira, 7 de janeiro de 2010
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